Nous vivons deux révolutions :
a) une révolution thérapeutique qui a d’abord permis la guérison de nombreuses maladies et dont les progrès se sont traduits par une forte croissance des dépenses de santé, mais qui – de plus en plus – permettra de prévoir et de prévenir, donc de réduire les coûts associés aux soins ;
b) une révolution biologique conférant à l’homme la maîtrise de la procréation, de l’hérédité et du système nerveux dont les conséquences morales et sociales sont considérables.
L’auteur fait ici le point sur les progrès de la biologie et l’extraordinaire pouvoir qu’ils nous confèrent, pour le meilleur comme pour le pire, selon la sagesse des hommes…
Biologie, éthique et société
Cet article fait partie de la revue Futuribles n° 131, avr. 1989