Si la prévision est toujours un exercice périlleux, il est généralement considéré que le risque de se tromper est d’autant moins élevé que les inerties sont grandes. Ainsi est-il admis que la prévision démographique est moins aléatoire que celle des cours de la Bourse, et que le changement climatique se prête plus aisément aux simulations que le changement technologique.
Migrations : l'imbroglio statistique
Cet article fait partie de la revue Futuribles n° 279, oct. 2002