Guy Aznar, qui depuis plus de quinze ans se bat en faveur de la réduction du temps de travail, nous rappelle quelques vérités élémentaires concernant les 32 heures, ou la semaine de quatre jours. Mais, surtout, il souligne qu’au-delà de la discussion sur le partage du travail, la vraie question est celle des revenus et du “partage des richesses produites sans travail”.
Il formule en la matière une proposition audacieuse, celle du “deuxième chèque” qui devrait, selon lui, résoudre l’éternelle question relative à la réduction des salaires qu’entraînerait inéluctablement celle du temps de travail.
Cet article fait partie de la revue Futuribles n° 181, nov. 1993