Les démocraties contemporaines revêtent de plus en plus un caractère présidentiel. Pourtant, si les gouvernants jouissent d’un pouvoir et d’un poids accrus, l’infrastructure sur laquelle ils s’appuient continue de briller par son insuffisance. L’auteur du présent article insiste sur la précarité d’une prévision qui repose souvent sur des objectifs erronés. Les prospectivistes et la prévision doivent s’orienter vers une nouvelle démarche.
Les gouvernants en quête de prévision
Cet article fait partie de la revue Futuribles n° 96, fév. 1986
