La réduction des crédits budgétaires alloués à la recherche, qui vient d’être décidée par le gouvernement français, est inquiétante. Pierre-Frederic Ténière-Buchot, qui souligne combien les aléas conjoncturels sont peu propices à l’innovation scientifique et technologique, réaffirme la nécessité de l’ambition et de la ténacité, pour permettre à la France de rester dans la course de la recherche, qui appelle de multiples effets de synergie entre les scientifiques et les industriels.
Une recherche malade de son État
Cet article fait partie de la revue Futuribles n° 101, juil.-août 1986