Les » nouveaux entrepreneurs » bénéficient aujourd’hui d’un intérêt tout particulier, comme si on avait enfin trouvé en eux cette élite d’avant-garde qui allait tout à la fois redorer l’image du libre-entrepreneuriat, créer des emplois et initier de nouvelles pratiques sociales. Ils intéressent, mais personne ne sait précisément les définir. Hans E.Maier s’efforce ici d’établir des critères propres à déceler quel sont, parmi les nombreuses nouvelles entreprises, celles qui sont réellement porteuses d’avenir.
Les nouveaux entrepreneurs en RFA
Cet article fait partie de la revue Futuribles n° 49, nov. 1981