Le patronat et les syndicats français, à l’exception de la CGT, sont parvenus le 31 octobre 1995 à un « accord national interprofessionnel sur l’emploi », au terme duquel devaient s’ouvrir d’ici le 31 janvier 1996 des négociations par branche portant sur la réduction du temps de travail qui, selon le Président du CNPF, pourrait entraîner, en deux ans, la création de 300 à 400 000 emplois.
La réduction du temps de travail en France. Le point de vue des salariés de la chimie
Cet article fait partie de la revue Futuribles n° 205, jan. 1996