La publication du rapport Nora-Minc sur » l’information de la société » a déclenché récemment un important mouvement d’intérêt pour les systèmes d’informations automatisés. Il y a une dizaine d’années déjà, un engouement du même type s’était manifesté pour s’éteindre progressivement. La question que pose Francis Wasserman, chargé d’études à la SEDES (Société d’études pour le développement économique et social) est la suivante : le regain d’intérêt manifesté vis-à-vis des bases et banques de données n’est-il qu’un phénomène passager destiné à réapparaître périodiquement ? Ou, au contraire, traduit-il la prise de conscience d’une évolution de l’utilisation de l’information désormais irréversible ?
Les bases et banques de données
Cet article fait partie de la revue Futuribles n° 25, juil.-août 1979