Suite à la publication de l’article de Bernard Kayser sur l’avenir des espaces ruraux dans lequel il distinguait trois types d’espace rural en France : les espaces en voie de dépeuplement et d’abandon, l’espace péri-urbain et » les campagnes vivantes « , et ne cachait pas un certain pessimisme concernant les espaces ruraux en voie de désertification, nous avons le plaisir de publier ici la réaction d’un ancien exploitant agricole reconverti dans l’élevage de canards qui, depuis le Perche profond, s’élève contre tout fatalisme et entend affirmer la capacité des hommes à éviter qu’une grande partie de notre espace tombe en déshérence. Sa lettre est suivie d’une brève réponse de Bernard Kayser.
Non ! la désertification n'est pas une fatalité
Cet article fait partie de la revue Futuribles n° 170, nov. 1992