La prospective revient à la mode, mais les modèles ont vieilli, face à une géographie industrielle bouleversée et à une technologie en mouvance perpétuelle. Il faut donc réfléchir à de nouvelles méthodes.
Les entreprises y sont préparées, parce que la crise les a amenées à une vaste introspection, que leurs banques de données se sont étoffées et leurs outils de calcul affinés. Mais l’ingrédient décisif reste l’esprit d’ouverture. Une forme de catalyse ne serait pas inutile, à condition de mettre l’accent sur l’imagination.
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Cet article fait partie de la revue Futuribles n° 129, fév. 1989