Les récentes catastrophes écologiques témoignent une fois de plus que le seul cadre national est inadéquat pour aborder l’environnement : sa dimension naturelle n’est pas seulement continentale, elle est mondiale. Mais alors, comment attaquer ces problèmes dès lors que l’action internationale institutionnalisée porte en elle-même ses propres rigidités et limites ?
Europe, environnement, tiers monde
Cet article fait partie de la revue Futuribles n° 89, juin 1985