La société japonaise a souvent été présentée comme formée d’une communauté très intégrée, consensuelle, et relativment fermée vis-à-vis des étrangers. Mais les jeunes générations – bien qu’elles demeurent très marquées par le modèle positiviste américain – sont beaucoup plus ouvertes aux « autres Asies » avec lesquelles les relations culturelles se développent, non cependant sans une certaine ambiguïté.
Repenser l'altérité japonaise
Cet article fait partie de la revue Futuribles n° 216, jan. 1997