L’UNESCO et le Conseil international pour la science (CIUS) ont conjointement organisé du 26 juin au 1er juillet 1999 à Budapest une » Conférence mondiale sur la science » dont l’ambition était de définir les priorités pour le XXIe siècle.
Dominique Chouchan rend compte brièvement de ce sommet mondial et de quelques-uns des points qui lui sont apparus essentiels : le dramatique déséquilibre Nord-Sud, la privatisation de la recherche mais aussi, par voie de conséquence, sa confiscation à des fins parfois fort éloignées des besoins humains les plus fondamentaux…
Quelle science pour le XXIe siècle ?
Cet article fait partie de la revue Futuribles n° 245, sept. 1999