Nous avons ouvert, dans notre numéro de septembre-octobre, une série consacrée aux apports de l’entreprise à la fabrique du bien commun et la poursuivons, dans ce numéro, au travers de témoignages d’acteurs au cœur de ces apports. Après l’expérience d’Initiative France, présentée dans l’article précédent par Jean-Pierre Worms, c’est au tour de Gilles Vermot-Desroches d’exposer le parcours de l’entreprise Schneider Electric en matière de mécénat et de développement de sa responsabilité sociale au sens large. Lancée en 1998, alors que la RSE (responsabilité sociale / sociétale des entreprises) commence à s’institutionnaliser, la fondation Schneider Electric vient logiquement prolonger et approfondir les démarches engagées par l’entreprise à travers le monde, dans son secteur, et en associant le plus de parties prenantes possible. Vingt ans plus tard, on voit ici comment une entreprise peut, concrètement, participer à son échelle à la fabrique du bien commun, et élargir son action au fur et à mesure qu’émergent de nouveaux défis de société.
Une entreprise au service du bien commun. Le témoignage de Schneider Electric
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Cet article fait partie de la revue Futuribles n° 427, nov.-déc. 2018