Les États riches restent très riches. Si, au passif, leur endettement atteint des niveaux souvent plus que préoccupants, à leur actif se trouvent des biens publics qui pourraient faire l’objet de privatisations. L’hebdomadaire libéral britannique The Economist met les pieds dans le plat, et dans les données.
Dans l’ensemble de la zone OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques), la valeur des entreprises publiques (détenues par les États) tourne autour de deux milliards ...