Jadis très homogène et soudée par d’identiques valeurs, notamment celle de « l’ascétisme autoritaire », la société japonaise se découvre plurielle : en raison d’abord de la présence d’étrangers sur son territoire, ensuite d’une moindre cohésion sociale. Ainsi devra-t-elle faire l’apprentissage de l’altérité et se doter d’un nouveau cadre philosophico-idéologique plus respectueux de la diversité.
Quelle intégration pour les immigrés ?
Cet article fait partie de la revue Futuribles n° 216, jan. 1997